Ca y est ma semaine de vacances dans le New South Wales est terminée. En attendant de publier une vidéo de ces vacances hautes en couleurs je mets en ligne celle de mon saut en parachute. Et oui, le 5 août dernier à Byron Bay (point le plus à l'est de l'Australie), j'ai propulsé mon petit corps hors d'un avion à 14 000 pieds d'altidude, soit 3 kms au dessus du niveau de la mer. Une minute de chute libre en tandem avec un instructeur canadien dont je n'ai malheureusement pas saisi le nom. Que du bonheur ! La qualité de la vidéo est très limite comme d'habitude. Vous ne verrez donc sans doute pas la panique sur mon visage au moment crucial* et n'apprécierez pas non plus la beauté des paysages à sa juste valeur (dire que pendant un temps je pensais le faire à Carpiquet quel gachis !!!), mais vous aurez un aperçu de ces quelques minutes de folie.

Je pense fort à vous tous et en particulier à Mélinda et Florent. Tous mes voeux de bonheur aux futurs mariés !!!

Bise Lise

PS : Ross and Steve I miss you...

PS 2 : HAPPY BIRTHDAY MAREK !!!

* Au moment de sauter j'ai pensé en mon fort intérieur de petite flipette : "Si je suis cardiaque je vais le savoir tout de suite". Ca n'a duré que 2 secondes mais ce furent les 2 secondes les plus angoissantes de toute ma vie. J'udooore !!!

Three words :

AWESOME !!! TOO SHORT

I am about to do skydiving !!!

I am not sure if I am really excited or completely scared...

God bless myself...

Slizy

PS : Byron Bay and the East Coast are Awesome !!!

Plus que quelques heures et c'est la quille comme on dit chez nous !!! J'en profite pour publier un dernier billet car j'ignore l'accès Internet dont je bénéficierais durant ce petit voyage. Ross et Steve ayant prévu de me trainer en camping (haut lieu des NTIC comme tout le monde le sait) je préfère anticiper. Itinéraire prévu : Canberra, Sydney (Melbourne à Sydney en passant par Canberra = 1090 kms) puis Byron Bay (Sydney à Byron Bay = 800 km environ). En comparaison nous avons parcourus 1030 km pour aller de Melbourne à Adélaide par la Great Ocean Road. Départ demain à 5 am. D'ici là je compte bien me reposer afin de jouir pleinement de cette nouvelle aventure.

D'autant que, je l'avoue, l'anglais devient dur. J'ai du mal à suivre pendant toute une journée. Je me connais cependant une circonstance atténuante : je jongle depuis plus d'une semaine entre les accents français, australien et américain. Et croyez moi, c'est loin d'être évident. Je connais d'ailleurs une petite baisse de régime ces derniers temps. Vous me manquez les copains ! C'est frustrant de ne pas saisir tout ce qui se dit autour de soi. Les calembours, domaine où vous excellez pour certains, sont bien plus abscons dans la langue de Shakespear. J'ai sans doute besoin de changer un peu d'air, de voir autre chose. Aussi j'abandonne Keith et Marek à leur triste sort pour une semaine. J'espère les retrouver en un seul morceau à mon retour. Pas évident.

How can I do without my favorite guides ? Should I stay so confident and...

Give me a hug but don't touch me !

Je pense fort à vous. Et vous ?

Biz Liz

PS : J'uuudore ton affiche Lionel !

Petit concert de hip hop et jazz à l'Esplanade, bar huppé de Saint Kilda vendredi soir. Puis enchainement samedi matin sur le French-A-Fair qui s'est bien passé. Aujourd'hui dimanche je suis retournée faire un tour à la National Gallery of Victoria avec Steve avant de visiter le Botanic Garden de Melbourne (très chouette). Pas de photos de tout ça.

Tout à l'heure, n'ayant pas le courage de cuisiner nous sommes allés au pub (où, je tiens à le préciser, je n'ai pas bu une goutte d'alcool !) pour manger un chicken parmisiana. Et au retour, à deux pas de notre porte d'entrée : un Opossum de la taille d'un gros chat. L'opossum, pour ceux qui l'ignore est un mammifère marsupial américain de la famille des didelphidés (Didelphidae). Il a des mœurs nocturnes et arboricoles ; c'est un prédateur de reptiles, d'oiseaux et de petits mammifères. On en trouve du sud des Etats-Unis au nord de l'Argentine, ainsi qu'en Nouvelle-Zélande où il a été introduit par les premiers colons [merci Wikipédia]. Il y est la cause de ravage parmi les espèces indigènes, mais en dehors de ça c'est mignon comme tout. Cours de zoologie mis à part, j'ai sauté sur l'occasion pour prendre un cliché. Alors qu'une certaine routine s'installe, c'est le genre de petites choses qui me rappellent que je suis bien loin de la Normandie.

Vivement Sydney.